By Le chef de l’État Faustin Archange Touadera a posé la première pierre de construction du champ solaire SAKAI 2 le 14 août ; en présence des membres du gouvernement, ainsi que diplomates et la population autochtone.
A priori, le gouvernement centrafricain et les Emirats Arabes Unis, ont signé un accord de partenariat depuis les mois derniers, pour la construction d’un champ solaire à Sakaii 2, dans la circonscription de Bimbo 3. Doté d’une capacité de 60 MW (une première en RCA). Le coût total des travaux s”élève à 90 millions de dollars américains, pour une durée de 8 mois d’exécution.
Dans le discours du Directeur Général de Global South Utilities Power Entreprise iInnvestment monsieur Alil Al Shimmar, qui a financé le projet,, ” la RCA est pays très riche et les Emirats Arabes Unis dans le cadre de ce partenariat ne s’arrête pas qu’à la condition du champ solaire. Ils sont prêts pour financer des projets dans le cadre de l’éducation, l’agriculture, l’élevage et l’exploitation des ressources du sous sol. En plus, lles taxes d’imposition et d’exportations entre les deux Etats seront réduit à 98%> ce qui favorise la libre circulation des biens et des personnes” . A-t-il mentionné. Le ministre chargé de l’énergie Arthur PIRI, ” avec ce nouvel élan, le pays dispose désormais de plus de 101 MW d’électricité. Selon la politique du chef de l’État Faustin Archange Touadera lors de son accession à la magistrature suprême de l’ État.
De 1942 où la capacité électrique était de 28 MW, à 2025 avec 101 MW, le pays converge vers un boom électrique sans précédent”. D’autres projets sont en cours d’exécution pour bannir définitivement les difficultés liées à l’accès à l’ électricité. Seulement, le centrafricain lambda s’interroge sur les impacts directs de ces travaux au profit de la population à la base. Des dysfonctionnements électriques sont décriés dans plusieurs régions du pays, d’où nécessité pour le gouvernement de distribuer équitablement ce bien commun. Espérons que ces projets profitent également dans l’agriculture et l’élevage, pour un décollage économique.
